Caraboss.e
SANS AMERTUME
Mardi 17 janvier 2012 à 21:53
Mardi 17 janvier 2012 à 21:44
Un rêve... une maison cachée dont je devine la connaissance... j'y étais... j'y étais autrefois... était-ce un institut, une structure de soin ou bien un lieu à vivre?... elle était là... derrière ce qui faisait écran (le paysage lui-même, une colline, une falaise... toute une vie indescriptible parce qu'effacée ou confondue au rêve). Des gens autour de moi (dont le copain de Pascal, directeur d'établissement), en extérieur, regardaient dans la même direction que moi... c'était certain qu'elle allait disparaitre ou qu'elle serait démolie. J'étais en tailleur, j'en ai la perception... une jupe au dessus du genou et une veste légère... j'étais sur le bord de la page du rêve... la maison à l'opposé au fond sur la ligne d'horizon en transparence ou en opacité aveugle.
Lundi 16 janvier 2012 à 21:08
Voilà que le rêve se transforme en pénible souffrance flottante... "elle", la rivale, est là près de toi, dans une pièce d'intimité. Tu l'entoures, tu l'aimes, tu la valorises devant moi qui suis comme les meubles, témoins de votre histoire, immobiles dans la pièce et muets pour ne pas déranger ou se faire remarquer. Nous sommes en réunion. Il est proposé que cette femme rivale, leader du groupe, fasse la partie méthode. Je m'insurge en disant que ce n'est pas du rôle de Madame la Maire et que quelqu'un d'autre doit le faire. Je suis soutenue par une femme en face de moi qui aurait le look de la vice présidente de la CME. Elle? Elle a pris l'apparence de Mme MARTIN (une Martine castrée du signe du féminin), longue et robuste,
Voilà que mon rêve se transforme en une pénible souffrance flottante... avec toi en mon coeur... en son coeur m'en songé.
Dimanche 15 janvier 2012 à 20:06
J'ai rêvé... mon psychisme est en alerte... le contrôle n'opère plus... je suis prête à l'écoute de mon dedans.
J'ai rêvé de l'achat d'une maison double ou de deux maisons siamoises voire jumelles. L'une d'elle montrait un énorme trou dans le toit ouvert aux intempéries. A l'intérieur, de hauts murs blancs, dont la peinture était de l'apprêt, se fissuraient. J'avais deux questions:
- une adressée au propriétaire (Michel séparé et aujourd'hui installé loin de la région) qui s'inquiétait de la réparation négociée dans l'achat ou pas par Pascal (lui-même ayant acheté sa maison avec sa nouvelle amie)
- l'autre qui était dite à la volée et qui demandait comment on pouvait réparer des fissures si hautes sans matériel pour le faire.
J'ai rêvé... mon esprit semble préoccupé... j'ai rêvé et je me dis que c'est une poussée de vérité qui force la porte de la censure. La nuit dernière, Bruno est apparu dans un rêve à la fin duquel je me suis réveillée en criant. Le mot "Connard" s'inscrivait à l'intérieur et à l'extérieur du rêve. Je lui adressais. C'était comme pour marquer une césure.
J'ai rêvé... comme si ma vie nocturne n'était qu'un mauvais conte de fée dont les traces s'effaçaient au réveil.
Dimanche 15 janvier 2012 à 1:20
Caraboss.e
SANS AMERTUME